JUBA MON FRANGIN
Tuer des soldats US , sionistes , des mercenaires , mettre la crainte et la peur dans le cœur des envahisseurs , résister en Irak , en Palestine , dans tous le monde arabo-musulman, c’est chasser tous les envahisseurs en s’attaquant rien qu’à eux et leurs collaborateurs armés, nos despotes, et à tous les niveaux , JUBA , quel qu’il soit , un seul Sniper , un groupe de résistants Snipers , l’essentiel c’est l’objectif de la résistance et du combat , ce qui compte c’est chasser les envahisseurs sans que la fin justifie les moyens , JAMAIS ! Les attentats aveugles intercommunautaires, JAMAIS !!! L’horreur ZARKOUI, JAMAIS !! jamais l’horreur tout court contre le peuple irakien qui lui connaît dans sa chaire toutes les souffrances auxquelles il a survécu , du monstre SADDAM HUSSEIN à la terreur et aux génocides programmés des nazis de l’empire néocons-sioniste , ce peuple martyr sait et connaît le sens du combat des authentiques résistants irakiens .Contre les néocons , les sionistes et leurs complices arabes , le peuple frère irakien sera toujours du côté de JUBA et ses compagnons , les démocrates arabes aussi ,nous aussi et en face nos envahisseurs et leurs valets , nos tyrans finiront par se résoudre à notre éthique, parce que nous nous battons pour la liberté de notre terre et pour nous même , parce que nous sommes dans la vérité.
Ils tombaient comme des mouches
Dés que ta grâce les touche
Des hordes sauvages
Qui font les naufrages
Défigurent nos visages
Violent nos images
Ils tombent comme des feuilles mortes
Que le diable les emporte
Et emporte avec eux
Toutes nos souffrances
Que la mort les emporte
Vers d’autres cieux
Ils ont perdu d’avance.
JUBA, LE HEROS INVISIBLE
Les Américains font la chasse aux vidéos de la résistance diffusées sur Internet et vendus en DVD dans tout le Proche-Orient, et au-delà. Les sites qui les accueillent sont vite fermés, mais renaissent rapidement ailleurs. Certaines vidéos sont insoutenables comme les égorgements de prisonniers. D’autres pourraient être extraites de reportages télévisés, mais sont rarement programmées pour ne pas déplaire aux Etats-Unis. On y voit des embuscades, des attentats, des attaques de chars et de Humvees. La vidéo la plus regardée sur Internet est sans conteste « Juba, le sniper de Bagdad » .
“Juba” est le surnom donné par les forces d’occupation – considéré comme infamant - à un, ou plusieurs, snipers opérant au sud de Bagdad. Plus d’une centaine de soldats américains en auraient été victimes. Le premier film a été diffusé mi 2005. Il a fait du mystérieux tireur un héros mythique dans la région et au delà. A l’époque, les Américains disaient que c’était un « hoax » (une fausse information) et personne ne voulait la programmer pour ne pas leur déplaire. Puis, devant le nombre croissant de victimes, ils ont du reconnaître que « Juba » existait, mais qu’il avait été arrêté. Les tirs ont repris de plus bel…
Le succès de la vidéo a été tel que l’Armée islamique en Irak en a réalisé une seconde, offerte aux Irakiens comme cadeau à l’occasion de l’Aïd 2006 . Sur une des versions, on entend « Juba » murmurer : « J’ai 9 balles dans ce fusil (un Dragunov russe) et j’ai un cadeau pour George Bush, je vais tuer 9 personnes. Je fais cela pour qu’on le voit. Allah est grand ! Allah est grand ! ». Et, les GI’s tombent les uns après les autres, créant dans les troupes d’occupation à Bagdad une véritable psychose.
Le succès du « Sniper de Bagdad »
« Juba », un franc-tireur, abat soigneusement un vingtaine de GI
Feurat Alani
En Irak, le DVD du « Sniper de Bagdad » fait un tabac. Distribué sous le manteau à la sortie des mosquées et dans les marchés, les jeunes Irakiens se l'arrachent. Le DVD aurait même dépassé les frontières irakiennes et circulerait dans les rues d'Amman, de Damas, de Téhéran, de Dubaï... Ce film de propagande diffusé par l'Armée islamique en Irak (AIS), auteur de l'enlèvement des journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot, montre les actions d'un sniper âgé de 16 ans. Sur un fond de chants religieux, la première séquence met en scène un soldat américain en faction près de son véhicule. Un tir retentit. Le soldat tombe... et ne se relève pas. La caméra s'attarde ensuite sur la réaction des autres militaires, saisis de panique et prenant la fuite. La scène la plus marquante se passe à Ramadi, à 50 kilomètres de Fallouja, en plein pays sunnite. Un militaire en patrouille est tué sans que ses compagnons s'en aperçoivent. Les passants prennent la fuite.
Invisible durant les quinze minutes du DVD, le franc-tireur nommé « Juba » prend soigneusement une vingtaine de GI pour cible et les abat. Chaque séquence est entrecoupée de citations à sa gloire. « A plus de 200 mètres de distance, Juba tire, se cache et disparaît », précise le texte. Avec cette propagande, l'AIS espère faire d'une pierre deux coups. D'une part, redorer le blason de la résistance sunnite irakienne en montrant qu'elle épargne les civils et ne s'attaque qu'aux Américains. De l'autre, inciter la jeunesse irakienne, mais aussi arabe, à rejoindre le « front » en Irak. En témoigne Kassem, jeune Irakien de 15 ans qui « aimerait viser aussi bien que Juba ».
Audio report on ‘Juba’ the Iraqi sniper.
http://www.dailymotion.com/athenafrancia/video/xkyty_juba-le-sniper-de-bagdad
http://www.goovideo.com/?2006/11/10/313-images-chocs-d-un-sniper-irakien-tirant-sur-des-gis
Le général responsable des forces protégeant Bagdad tué par des tireurs embusqués
BAGDAD (AP) - Le général de division responsable des forces protégeant Bagdad a été tué lundi par des tireurs embusqués dans l'ouest de la capitale irakienne, alors qu'il circulait en voiture, a annoncé la police.Des hommes armés, cachés dans des maisons du quartier d'Adl, ont ouvert le feu sur le convoi de voitures dans lequel se trouvait le général Mibder Hatim al-Dulaimi, selon un responsable du ministère de l'Intérieur, le commandant Falah al-Mohammedawi.
Mibder Hatim al-Dulaimi, qui devait aller inspecter ses troupes, dirigeait la 6e division de l'armée irakienne. Ce musulman sunnite a été tué près du lieu où un dirigeant du Parti islamique irakien, Andan al-Dulaimi, a échappé jeudi dernier à une tentative d'assassinat. AP
Juba, le mythe du sniper irakien
LE MONDE
quoi pensait-il ce jeune GI derrière la visière transparente de son casque ? Etait-il heureux d'avoir quitté sa Californie ou son Texas natal ? Satisfait de se trouver là, sous un beau soleil d'automne, en plein coeur d'une ville en fièvre nommée Bagdad ? Comptait-il plutôt avec angoisse les jours qui le séparaient de la quille ? Avait-il peur de mourir ? Avait-il jamais tué quiconque avec cette grosse mitrailleuse qu'il empoignait ce jour-là dans la tourelle de son blindé ?
A 200 mètres de là, de l'autre côté du grand carrefour, Juba l'Irakien ne se posait sans doute pas ces questions. Allongé sur un matelas à l'intérieur d'un minibus aux vitres teintées, Juba était là pour tuer. L'oeil vissé à son viseur, la respiration lente, il prenait son temps, étudiait le vent qui s'engouffrait dans les feuillages d'un eucalyptus, corrigeait sa visée en fonction, cherchait sa cible, le meilleur angle de tir pour son fusil à lunette. Le viseur du Dragonov de fabrication russe qu'il soignait comme un trésor passait d'une cible potentielle à l'autre. Elles étaient quatre. Serait-ce ce soldat harnaché comme un templier des temps modernes qui s'éloignait du blindé, s'approchait du trottoir, observait une à une les voitures qui passaient lentement devant lui dans le grand charivari urbain ? Ou bien cet autre, là derrière, les mains crispées sur son fusil d'assaut, qui dévisageait les passants d'un oeil soupçonneux, tandis qu'eux-mêmes le contournaient sans le regarder, s'efforçant de l'ignorer et poursuivant leur chemin ? Juba n'a pas droit à l'erreur. Une seule balle doit être tirée, une seule. C'est une règle de survie. Ensuite, comme à l'accoutumée, il faudra dégager, doucement, sans se presser, et sans attirer l'attention, se perdre dans le grand flot mécanique. La caméra qui tient toute la scène dans son collimateur zoome alternativement sur chacun des soldats. L'objectif s'arrête un instant sur le servant de la mitrailleuse. Est-ce lui le maillon faible ? Sur le trottoir, les soldats marchent, s'arrêtent, font demi-tour, repartent. Lui, le mitrailleur, est coincé dans sa tourelle. Statique par nature. Impossible de deviner ses traits. Trop loin. On n'aperçoit que sa tête casquée, ses bras, le haut du torse. Le zoom repart, revient, s'arrête définitivement sur lui. Son destin est tranché. Un claquement sec, une éphémère volute de fumée qui s'échappe de son casque, les bras qui se lèvent dans un ultime spasme, l'homme s'effondre comme une poupée de chiffon derrière son blindage. La balle, calibre 7,62, lui a fracassé la tête. Distribué fin octobre à la sortie des mosquées avec les friandises traditionnelles des fêtes de l'Aïd qui marquent la fin du ramadan, la mort du GI enregistrée sur un DVD dont Le Monde s'est procuré une copie est devenue un véritable "hit", le "must" d'une jeunesse irakienne désemparée par la guerre, aux trois quarts sans travail, totalement désoeuvrée. Les bons jours, moins d'un tiers des étudiants de la ville ose encore se rendre à des cours le plus souvent désertés par des enseignants qui fuient le pays en masse. Il y a maintenant près de quatre ans que les cinémas, les théâtres et les salles de jeu de la capitale ont fermé leurs portes. De toute façon, avec le couvre-feu qui commence chaque soir à 20 heures, il n'y a plus que la télé, les centaines de chaînes satellites qu'on peut désormais capter. Et l'Internet. Sous la dictature de Saddam Hussein, tout cela était interdit. Merci l'Amérique... Grâce à elle, outre les enregistrements offerts et échangés sous le manteau, le mythe de Juba est un immense succès en ligne. Les "exploits" du franc-tireur ont été vus par au moins 35 000 Irakiens sur les sites appropriés. Pour les garçons et filles qui se bousculent dans les cafés Internet ouverts un peu partout depuis l'invasion d'avril 2003, Juba est devenu un héros, peut-être le seul de cette épouvantable période. Entre 100 000 et 650 000 Irakiens - nul ne sait précisément, les estimations s'envolent - ont perdu la vie depuis près de quatre ans. Près de 2 millions d'autres, les élites surtout, ont abandonné leur pays pour se réfugier ailleurs. Un pays qui vit au moins deux guerres simultanées, celle menée par, au bas mot, 20 000 "insurgés" contre l'occupation militaire étrangère et celle qui oppose les milliers de gangsters et de miliciens affiliés aux diverses formations politico-religieuses en lutte pour le contrôle d'une parcelle de pouvoir. Les Arabes chiites et sunnites irakiens ont des visions diamétralement opposées de la situation politique. Les assassinats sectaires, les enlèvements collectifs et les attentats aveugles qui tuent chaque jour des dizaines de civils et de policiers irakiens terrorisent à peu près tout le monde et ne sont ouvertement soutenus par personne. Qui pourrait applaudir pareille boucherie qui sature les cimetières ? A en croire les sondages, dont les conclusions se reflètent largement dans les conversations qu'on peut encore avoir à Bagdad avec des Irakiens "ordinaires" de toutes confessions, le seul dénominateur commun entre les deux grandes communautés arabes du pays est la détestation de "l'occupant". D'où l'indiscutable succès de "Juba le sniper" qui lui, comme le souligne gravement Taher M., un jeune Bagdadi de 21 ans, "ne tue que des infidèles". "Dans le carnage ambiant, explique un ami sociologue, les actions de Juba paraissent au moins dans la norme des guerres." Qui est ce mystérieux "Zorro arabe" qui laisse presque à chaque fois sur les lieux un papier ou un graffiti de deux lignes disant à peu près que "ce qui a été pris par le sang ne peut être repris que dans le sang" ? A la vérité, nul n'en sait trop rien. "C'est une légende urbaine fabriquée par la propagande terroriste via un habile montage de séquences qui mettent probablement en scène plusieurs snipers", explique-t-on au quartier général américain à Bagdad. Peut-être. Une seule chose est sûre, le ou les tireurs semblent bel et bien appartenir à un même groupe armé, dénommé "Armée islamique en Irak", une organisation clandestine formée dès l'été 2003 et essentiellement constituée, semble-t-il, de nationalistes irakiens sunnites plutôt proches des Frères musulmans. N'appartenant pas à la mouvance d'Al-Qaida en Irak - l'Armée avait par exemple appelé à voter en 2005 contre la nouvelle Constitution irakienne, alors que l'organisation fondée par Oussama Ben Laden juge l'exercice du vote "non islamique par nature" -, l'objectif annoncé de "Jaish-al-Islami", son nom en arabe, est d'expulser toutes les forces étrangères de l'ancienne Mésopotamie. Il y a quelques mois, un premier film de treize minutes de propagande estampillé de la même "armée" avait été distribué dans les mosquées. Les images étaient souvent floues et d'assez mauvaise qualité. Dans le second film de quinze minutes, intitulé "Juba, le sniper de Bagdad, 2e partie", les images sont nettes, le son et le montage techniquement de bonne qualité. Outre de nouvelles scènes de tir au but sur des soldats, y apparaissent deux personnages assez massifs qui pourraient n'être qu'un seul et même homme. Filmé dans une pièce immaculée, le visage du premier est dissimulé sous une cagoule noire, façon GIGN. L'opérateur le montre poser un pistolet, un talkie-walkie et un fusil à lunette sur une table avant d'ajouter posément, au stylo feutre, une 37e petite barre sur un papier accroché au mur : son "tableau de chasse", suppose-t-on. On le voit ensuite transcrire quelques fortes paroles en arabe dans un cahier. Innovation qui montre bien que la cible de la propagande va bien au-delà des Irakiens, son texte est sous-titré en anglais. "Nous sommes la tempête qui détruit les soldats américains", écrit l'inconnu. "Nous sommes le feu qui ne dort ni ne se repose jamais." Un appel est lancé à "la nation musulmane", une sorte d'invitation à rejoindre la "résistance". "Comment peut-on manger, boire et dormir quand nos fils, nos frères, sont parqués dans des prisons d'infidèles ? Abou Ghraib, Guantanamo, Afghanistan, Palestine... Que dira-t-on demain à Allah quand Il demandera ce que nous avons fait quand l'ennemi est entré sur nos terres, détruisant nos mosquées, violant notre honneur, insultant notre saint Coran ?" Et puis, en voix off, un sauvage "appel à la jeunesse musulmane : Ne leur montrez aucune pitié ! Tuez-les tous ! Ils ont détruit notre pays et notre bien-aimée Bagdad. Faites de leur vie un enfer !". Plus posé, le second personnage porte un keffieh à damier rouge et blanc. Son visage est flouté. S'adressant à la caméra, il explique que "ce sont les Américains qui ont baptisé (les) francs-tireurs "Juba"". Présenté comme le "commandant des unités de tireurs d'élite de l'Armée islamique à Bagdad", l'homme affirme disposer d'un "nombre relativement important" d'as de la gâchette. "Il y a des centaines de Juba !", prétend-il. Il dit aussi que l'organisation a "développé son expertise", qu'elle a trouvé "de nouvelles méthodes pour transporter et cacher les snipers". Il explique surtout qu'un livre leur est "très utile : il s'agit de The Ultimate Sniper, écrit par un ancien sniper des marines américains, le major John Plaster". Le Monde a vérifié. L'intéressé a non seulement actualisé son ouvrage - initialement publié en 1993 - pour "aider la guerre globale contre le terrorisme" en 2005, mais il dispose d'un site Internet où chacun peut acheter des DVD et des conseils pour "acquérir la bonne arme" et ne jamais "manquer sa cible". Que pense le haut commandement militaire américain de cette fatale ironie ? Impossible de le savoir. La consigne, récente, est de ne plus commenter les "exploits" de Juba par crainte, nous explique-t-on, de susciter des vocations. L'idée de filmer les opérations et de diffuser les vidéos, confirme le "commandant" des snipers irakiens, "a été prise quand on s'est rendu compte que l'effondrement du soldat sous nos balles a bien plus d'impact sur l'ennemi qu'aucune arme". Guerre psychologique ? En réalité, les soldats savent pertinemment à quoi ils s'exposent quand ils circulent en zone urbaine. Les films servent surtout à accroître les chances de recrutement. "Nous savons, expliquait la semaine passée le capitaine de marines Glen Taylor au New York Times, que dans certaines villes de la province d'Al Anbar - principal bastion des insurgés sunnites -, des types circulent avec des haut-parleurs invitant les hommes à devenir sniper et leur offrant trois fois leur salaire actuel." Sur les 2 860 GI tués en Irak depuis le début de l'expédition, plus d'un tiers sont morts dans des attaques souvent imprévisibles et indétectables à l'engin piégé. Mines dissimulées dans des sacs à ordures posés sur les routes et les boulevards empruntés par les convois militaires, dispositifs enterrés sous le macadam et déclenchés à distance par un guetteur, charrettes à bras, ânes et kamikazes saturés d'explosifs, etc. Les morts attribuées sans distinction à des "tirs d'armes de poing" par un site américain qui traque les pertes de l'US Army en Irak (www.icasualties.org) seraient autour de 270, dont 80 depuis janvier. Combien ont été victimes des snipers ? Mystère. Selon le "département médias de l'Armée islamique" qui n'évoque à aucun moment les enlèvements suivis d'assassinats, notamment de journalistes étrangers, qui sont aussi une des méthodes moins glorieuses à laquelle elle a eu recours, 630 militaires américains auraient été tués par ses combattants depuis le début de l'invasion. Parmi eux, affirme-t-elle, 23 officiers et 11 snipers. Beaucoup pour un seul groupe. Trop pour un seul homme, fût-il nommé Juba ? A la mi-août, un périodique américain spécialisé, Army Times, publia l'entretien d'un sniper militaire déployé à Bagdad. Le sergent Randal Davis, 25 ans, expliqua comment, après des heures d'attente, il parvint à loger une balle de son M14 dans la poitrine d'un "confrère" irakien. "Il y avait du sang partout sur le mur", expliqua le jeune soldat. Un autre sniper, le caporal Mike, 31 ans, commenta "la différence qu'il y a entre un professionnel et un maniaque de la gâchette". Puis il afficha son propre palmarès : "quatorze tués en Somalie, trois en Afghanistan, un en Irak". En ces temps de "guerre globale contre le terrorisme", l'industrie du "sniping" est une affaire qui marche.. | |